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Suivez les billets d'humeur au fur et à mesure de la projection des films.
Les synopsis des films ainsi que les biographies de leurs auteurs sont plus ou moins une traduction des informations du festival, parfois légèrment raccourcies ou augmentées pour le public français.
Le Prix du jury oecumenique dans la compétition internationale est décerné au film
Naíma Sentíes © Limerencia
Le film est un portrait touchant d’une famille qui fait face au stade terminal de la maladie d’un de ses membres. L’histoire est racontée du point de vue de sa toute jeune fille et se déroule au cours d’une journée très spéciale. Le Jury a été bouleversé par la façon tendre et complexe d’illustrer l’amour qui soude cette famille, sans le dénaturer ni l’idéaliser. Le film met en évidence la sensibilité particulière qu’a la culture mexicaine d’aborder la mort tout en célébrant la vie.
Les articles en ligne pour Tótem :
Une Mention spéciale est attribuée au film
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pour son approche respectueuse de patients d’un hôpital psychiatrique de jour qui se rencontrent sur une péniche amarrée aux quais de la Seine pour retrouver le sens du vivre ensemble.
Les articles en ligne pour Sur l’Adamant :
Le Prix de la sélection Panorama est décerné au film
Khadija Kouyaté © Geko Films
pour la représentation forte et authentique du service de néonatalité d'un hôpital public parisien. Le film montre l'intensité du travail quotidien et les défis que les soignants rencontrent et surmontent. Le film montre avec brio les lacunes du système d'une part et le dévouement du personnel accompagnant les femmes qui s'apprêtent à mettre au monde un enfant d'autre part. Le mélange des genres entre documentaire et fiction ajoute à l'impact du film.
Les articles en ligne pour Sages-femmes :
Le Prix de la sélection Forum a été décerné au film
Mehran Tamadon, Taghi Rahmani © L’Atelier Documentaire
Comment raconter l'horreur de l'emprisonnement politique et de la torture ? Le cinéaste et architecte iranien Mehran Tamadon, qui vit en France depuis sa jeunesse et revient régulièrement dans son pays natal, a trouvé un chemin impressionnant pour répondre à la question. Il place ses personnages Homa Kalhori, Taghi Rahmani et Mazyar Ebrahimi dans un espace qui recrée leurs anciennes prisons, "là où Dieu n'est pas", comme l'a dit l'un des geôliers à Homa Kalhori. Et en tant que tel, cela devient un scénario brut qui déclenche en eux des souvenirs de souffrances passées, d'humiliations et de tortures. Un tel dispositif cinématographique original permet une reconstitution en forme de performance qui les amène à partager leurs expériences poignantes et devient une dénonciation d'une réalité qui est encore celle de l'Iran d'aujourd'hui.
(v. également, du même réalisateur, présenté cette même année dans la sélection 'Encounters' : Mon pire ennemi)
Les articles en ligne pour Là où Dieu n'est pas (Jaii keh Khoda nist) :
Le jury oecuménique, de gauche à droite : Paul de Silva, Arielle Domon, Anne Le Cor, Alberto Ramos Ruiz, Kerstin Heinemann et Miriam Hollstein ©Berlin 2023
En visio en ouverture du festival
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