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© Festival de Mannheim 2019
Le jury œcuménique de Mannheim-Heidelberg décerne son prix, doté de 2500 € par l'Eglise protestante allemande et le service cinéma de l'Eglise catholique allemande.
Le Prix du jury œcumenique est décerné au film
© Festival Mannheim 2019
Azim gagne sa vie et celle de sa famille, des Afghans vivant en Iran, en travaillant dans les canalisations, lieu vital du métabolisme de la ville. Sa capacité à endurer la souffrance semble inépuisable. Mais c’est l’écroulement du métabolisme de sa mère qui met en danger sa survie et nécessite une greffe du rein, qui brise ses forces – et son système de valeurs.
Traditions et lois, conscience et survie, amour maternel et nécessité de nourrir sa famille, absence de droits et sens du devoir, fuite, décision patriarcale solitaire, nationalisme et religion se heurtent à la théocratie iranienne. Mais le droit de vivre et survivre est sacré. Le film touche car Azim est également parmi nous, dans notre société et en chacun de nous. Comment s’arranger avec la mort, quand la vie prend fin, jusqu’où est-on prêt à aller pour ce et celui qui est sacré pour toi ? Le chemin vers la fin de la vie n’est praticable que si nous tenons l’un à l’autre dans l’amour et que nous sommes prêts à lâcher prise par amour.
Synopsis :Azim a fui l’Afghanistan avec sa famille pour s’installer en Iran. Mais ils ne sont pas contents. Surtout Faroogh, le frère d’Azim, veut continuer le périple plus loin. On prépare le voyage, mais au dernier moment, Faroogh ne veut pas emmener leur mère, malgré le lien étroit entre celle-ci et ses petits-enfants. Azim se rend compte que sa mère a absolument besoin d’une transplantation de rein pour ne pas mourir dans deux mois. Il se met en quête d’un donateur.Malgré le fait que le trafic de reins est florissant en Iran, il est interdit que des Iraniens donnent un organe à un non-Iranien. Azim lui-même ne peut pas offrir son rein, il est diabétique. Seul celui du frère peut sauver la situation. (information du Festival Mannheim-Heidelberg 2019)
Les articles en ligne pour Rona, Azim`s mother (Rona, madar-e Azim/*Rona, mère d'Azim) :
Une mention spéciale a été attribuée au film
© Festival Mannheim 2019
Le film se déroule chez les Inuits du Canada qui souffrent encore des séquelles de l’assimilation forcée des générations précédentes. C’est l’histoire vraie d’un professeur blanc plein d’illusions, confronté à un taux de suicide élevé chez ces adolescents. Tout change dans sa classe quand il propose la pratique de Lacrosse, un sport ancien qui réglait les conflits entre les tribus indiennes. Ainsi ils retrouvent, par eux-mêmes, les valeurs de respect dans la famille et la communauté.
Synopsis :Un jeune enseignant enseigne et apprend lui-même. Car ici chez les Inuits à Kugluktuk tout au nord du Canada, la vie quotidienne est marquée par la pauvreté, l’alcool et la violence familiale. C’est en tout cas l’impression que Russ, le nouveau prof, doit avoir quand il prend son poste à l’école. En tant qu’étranger il n’est pas bien respecté, ni par les élèves, ni par leurs parents. Ils trouvent que le ‘Blanc’ n’a pas à se mêler de leurs affaires. Alors il pense au jeu Lacrosse dont il a encore la crosse. Peut-être ce sport peut aider. Car ce jeu de combat a ses racines dans un jeu des premiers habitants de la côté est et des grands lacs et servait autrefois à forcer la communauté avant une guerre. (information du Festival Mannheim-Heidelberg 2019)
Le jury oecuménique, d g. à d. : Lothar Struber, Guido Convents, Alexander Bothe, Mirko Klein, Arielle Domon © Festival Mannheim
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