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Le jury œcuménique, nommé par INTERFILM et SIGNIS, décerne son prix au film
Le Prix de la Sélection officielle est décerné au film
© 2017 - Le Bureau
A qui appartient l’enfant ? Une vie ailleurs pose cette question d’une manière impressionnante, pleine d’émotion. Le film raconte le processus douloureux de faire face à cette question fondamentale et souligne le rôle central de la sincérité. Le défi éthique dépasse de loin la question juridique. Le regard des protagonistes s’ouvre finalement à la perspective de l’enfant et prend en compte sa dignité – avec toutes les conséquences pour leur propre vie.
Synopsis : Une jeune femme perturbée va à Montevideo en Uruguay, accompagné d’un ami. Ils ont une mission. Ils veulent ramener son fils, un garçon de 8 ans. L’ami est travailleur social et veut l’aider. Il n’a pas choisi cette profession par hasard et le film est un véritable hommage à cet homme et sa vocation. C’est avec distance et passion à la fois qu’il va faire en sorte que la mère, embarrassée au vrai sens du terme, va comprendre peu à peu la problématique de son désir, à première vue si justifié. (Information du festival).
Les articles en ligne pour Une vie ailleurs :
Une Mention spéciale est attribuée au film de la Sélection officielle
© Festival Mannheim 2017
Oralman est une petite histoire paradigmatique sur l’importance des racines et la quête d’un chez soi aux temps d’une migration mondiale.
Synopsis : La constitution du Kazakhstan dit que chaque Kasakh qui était hors du pays le 16 décembre 1991 (aujourd’hui fête nationale) et qui veut vivre dans ce pays, peut revenir. Mais en réalité c’est un chemin long et difficile. Par exemple la famille de Saparkul qui a émigré dans les années 1930 et qui veut quitter l’Afghanistan aujourd’hui déchiré pour retourner dans son pays. Après les difficultés d’usage du passage de la frontière, la famille s’installe près de Bajkonour avec leur fille muette. Ils arrivent même à ériger une moschée pour leur prière quotidienne. Mais avec toutes les pierres qu’on pose sur leur chemin, ils se sentent étrangers dans ce pays où ils ont combattu en tant que moudjahidin contre les usurpateurs russes. (Information du festival)
Les articles en ligne pour Oralman :
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